Il
nous est tout aussi naturel que de respirer. Pourtant, combien d’entre
nous vacillent à l’idée même de le regarder, de le
sentir, de le palper, d’y goûter ?
Nous
nous en déchargeons derrière des portes closes, nous le noyons
sous des cataractes d’eau dans des toilettes immaculées. Gare à
qui le mentionne en bonne compagnie. L’un des derniers tabous de notre
suprême société civilisée.
Assez
!
"Marchez en ricanant sur le chemin de la vérité" - Voltaire